dimanche 22 juin 2008

Ce matin-là

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Si je m'étais levé avec une idée de ce qui allait ce passer, je serais allée me coucher en position foetale dans ma douche dans le but de ratatiner assez pour manquer ce coup de fil.





Mais ça n'a pas été le cas.





Assise devant un ordi qui plante encore pendant que j'essaie d'installer un programme piraté pour la énième fois, je note que l'heure avance trop rapidement vers le moment où je vais devoir aller travailler.





DRING.


Conversation qui s'abat sur moi comme une averse. Avec possibilité de nuage sur ma tête pendant un temps indéfini.





Et dans ma tête une petite fille qui se demande: Papa, pourquoi tu pleures ?

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crédit image: http://www.sgeier.net/fractals/artwork.php




1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ma belle, mon coeur, ma chérie, mon ange... un poids si grand pour de si frêles épaules. Ta pudeur révèle si peu des événements, mais tant et tant de ta détresse.