mardi 15 avril 2008

Comme une allumette.

Ton corps comme un aimant en se retirant m'attire. Quel supplice que d'essayer d'y échapper. Je tire... sur la couverture. Mon corps comme un immense point d'intérogation, comme une question qu'on ne pose qu'en chuchotant, le souffle court, s'épouse avec le tien. M'aimes-tu ? Lovée contre toi, je sens ton coeur qui bat. Embrasse-moi, serre-moi, caresse-moi. Pour qu'en concert, les braises qui sommeillaient sous mes hanches s'enflamment. Je brule sous tes doigts, touche-moi. Baise-moi, jusqu'à ce que, entièrement consummée, mon feu vienne mourir entre tes lèvres. Pour renaître au matin, comme un phoenix contre ton sein.

4 commentaires:

john smith a dit…

o combien jaimerais etre ce 'il'


bien a toi et a ta fleur grandissante

Anonyme a dit…

Oufff... oui, j'ai chaud!

Francis Lussier-Charron a dit…

"She shivers in the wind like the last leaf on a dying tree..."

Karla a dit…

Wow! Bref...mais intense!
Je suis sans mot!