dimanche 5 octobre 2008

Aveux.

Malgré ta franchise, malgré tes Je t'aime. Je ne peux m'empêcher d'attendre toujours un peu plus longtemps avant de te rappeler, juste pour voir.

Pour voir si c'est pas toi qui va me poursuivre cette fois, pour voir si tu verrais pas que j'ai encore besoin d'être rassurée, pour te laisser une chance d'être l'attaquant, pour m'apprendre à m'occuper de moi et à faire autre chose.

C'est peut-être pas des bonnes raisons mais c'est les miennes. Et pardonne-moi d'avance, je vais essayer de tout coeur de te cacher que je n'attendais pas ton coup de fil depuis la dernière fois qu'on s'est parlé.

xxx

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Peut-être l'attend-il aussi ?

Daniel Paillé a dit…

C'est pour cela que ça sonne pas!