Je suis malade, le monde tangue. Perte de sensation du coté droit, vertige, vertige. Je tombe, les murs se déplacent sans moi, je reste au fond du lit, pétrifiée. À me demander pourquoi mon corps à moi me parle aussi fort alors que les autres restent debout dans l'adversité, comment j'en suis arrivée à ce mélange de culpabilité et de soulagement.
Comment j'en arrive aussi à comprendre rapidement, à me relever, à poursuivre. Mon coeur ne cesse jamais vraiment de battre même quand il rate un coup parce que je croise ton regard.
La victoire sur soi-même.
Sempre, sempre, sempre... ?
Il y a 8 mois
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