dimanche 27 juillet 2008

S'accrocher pour éviter de couler.




Les mots que j'ai bu sont allés alourdir mon estomac, en laissant tout juste assez d'espace pour un bout de chocolat. Je t'attendais. Tu es arrivé tout souriant, avec une barbe de neuf jours qui te mangeait la moitié du visage, et je t'ai trouvé beau. Ta bouche me manquait. Je t'ai embrassé en espérant comme à chaque fois te transmettre autrement que par la parole, ces mots que je tais même si mes lèvres participent à l'action. Trop de questions que je refuse de déballer rapidement et qui me font sombrer avec chaque seconde dans un peu plus de folie. Heureusement, il y a ta bouche qui me sert de bouée. Alors va savoir pourquoi j'ai aussi souvent envie de coller la mienne contre la tienne... Je ne le dirai pas. :)

1 commentaire:

Ainsi va la vie... a dit…

parce que t'aimes ça, frencher!! Profites, profites!! (en passant, c'est une joke!!)